Les sept secrets du zen

Les sept secrets du zen sont maintenant disponibles sur internet pour
la modique somme de 24,000 $ US, ou 31 499 piastres canadiennes, plus les taxes
bien sûr. La loi est incontournable.

Si vous réussissez à décoder les cinq photos ci-dessous,
les "7 secrets du zen" vous seront offerts gratuitement. Je ne retournerai point les montants alloués pour la TVQ et la TPS.


1 - ...avril 1940













2 - ...été 1986
















3 - ...automne 2005
















4 - 1941 - ?

















5 - "All is vanity"

17 commentaires

  1. # Anonymous Anonyme

    Monsieur Gilles, alias autre chose,
    a posé cette question au webmaître de son blogue :

    "As-tu remarqué que les cinq images inclus au texte des "Sept secrets du zen" correspondent aux 5 éléments? Ça te dit quelque chose les 5 éléments?"

    Et le web maître de répondre :

    "Oui!

    A un film de Luc Besson mettant en vedette Brute Willis,
    le bras armé, assis à droite de George War BOUCHE d'égout.

    Ainsi soit-il! Terre, Eau, Feu, Air, Espace!
    Laisse-moi regarder de nouveau ces photos pour en juger...

    1. Cadre, quatre, solidité, TERRE. Ouais... ça va.
    Mais y a aussi l'ESPACE pour mettre le portrait de Zenfou.

    2. (b)EAU. OK, disons.

    3. Ici deux réponses possibles : Espace : le maître a pris du volume
    et aussi : "Il a l'AIR d'un mètre".
    C'est selon.

    4. FEU. En tout cas, ce qui reste de son passage... L'oxydation a fait son
    oeuvre. Mais comme y a plus de feu, du moins en apparence, on peut invoquer
    raisonnablement l'élément TERRE. "Tu es né poussière et tu redeviendras
    poussière."

    5. Bon là ça se complique... Mais bon, t'en fais pas.
    En vérité Gilles, tu es une belle et jeune demoiselle.
    Tout le reste n'est qu'illusion."  

  2. # Anonymous Anonyme

    1- le cadre engendre la forme

    2- la forme engendre l'esprit

    3- l'esprit engendre la finalité

    4- la finalité engendre la causalité  

  3. # Anonymous Anonyme

    1- le cadre engendre la forme

    2- la forme engendre l'esprit

    3- l'esprit engendre la finalité

    4-la finalité engendre la causalité  

  4. # Anonymous Anonyme

    Monsieur André,

    Après avoir trouvé un maître, le cherheur de vérité n'a plus besoin, au moment de l'éveil, ni de cadre ni de maître. Il est comme une feuille de papier blanc. Il peut écrire sa vie librement. Le satori du zen devient pour lui le "ça t'as ri" pour l'éternité.

    Dites-moi, au moment de l'éveil "où est-il l'esprit qui engendre la finalité", à supposer que ce que vous dites soit vrai?

    La cause de ce quiproquo est l'ignorance de la vérité, a répété maintes fois le Bouddha.  

  5. # Anonymous Anonyme

    Train #1 Bienséance oblige

    L'esprit n'étant que ce qu'il est, il ne peut se trouver qu'à l'endroit d'où vous le trouverez. Si, bien entendu vous ne le chercher pas.  

  6. # Anonymous Anonyme

    L'esprit est à un endroit où nous ne pouvons le trouver.

    Où le trouver donc?

    Est-ce dire que nous ne pouvons le trouver que là où il n'est pas supposé être?

    Les Québécois disent que répondre ainsi c'est faire de l'esprit de bottines.

    Et si nous enlevions nos bottines, ne pourrions-nous point marcher librement, pieds nus sur une plage ensoleillée, enfin progresser vers l'endroit où nous devrions aller?
    C'est aussi avancer sans peur, cheveux qui dansent sur la musique des vents martinicais, l'esprit concentré sur l'idée de s'offrir un temps de repos mental maintes fois souhaité.  

  7. # Anonymous Anonyme

    Pourquoi une urne funéraire?  

  8. # Blogger Gilles Rivest

    Ce n'est pas une urne. C'est un pot à thé. Ce pot peut être converti si vous avez les doigts d'artiste en un bijou à sauvegarder pour les neveux. Si vous remarquez attentivement, il y a assez d'espace pour que Monsieur Gilles y aménage un terrain de jeu.  

  9. # Blogger LA VOLONTÉ CRÉATRICE

    Allez donc prendre une bouffé d'air frais. Il y a là des neuronnes qui surchauffent!  

  10. # Blogger Gilles Rivest

    Bonjour Zéronyme,
    Les commentaires de ce genre ont plus de crédibilité lorsqu'ils sont suivis du nom, prénom,ainsi que votre municipalité de résidence.

    Il pleut doucement ce matin. J'irai à votre suggestion balader mes neurones aux abords du Sanctuaire
    Notre-Dame-de-Lourdes de Rigaud. Je veux bien rafraichir mes neuronnes sous la pluie. Trop de crachin cependant va noyer mes facultés intellectuelles.

    Amicalement.  

  11. # Anonymous Anonyme

    Train # 2

    L'acte de concentration est difficile, ne nous écartons pas, ...7 secrets / 5 photos / 31 499 piastres canadiennes...  

  12. # Blogger Gilles Rivest

    Si vous avez votre ticket zen, si vous être bien concentré, Monsieur André, ne pourriez-vous pas réaliser l'éveil en 1,102,465 secondes? L'apprentissage des maths zen n'est pas trop compliquée.

    Le calcul 7 X 5 X 31,499 = 1,102,465. Nous n'avons pas besoin de calculette pour arriver instantanément sur l'autre rive. Il n'y a plus 1,102,465 mètres à traverser avec difficultés sur une mer houleuse. 1,102,465 bonnos fuient rapidement lors des face à face avec le Maître des mathématiques zen  

  13. # Anonymous Anonyme

    Dôshi,

    1,102,465 secondes, n'est-ce pas plus qu'il n'en faut pour arriver instantannément sur l'autre rive cher monsieur rivest.

    On risque plutôt de ne pas atteindre la berge opposé et de se perdre dans les remous du Styx.

    Même zéro seconde serait de trop. Pour atteindre l'autre rive, n'est-il pas plus efficace de faire une triple culbute devant-derrière tourniquet tout en buvant un délicieuse tasse de thé vert, le tout en un temps nul?

    Gasshô.  

  14. # Anonymous Anonyme

    Gasshos à tous.

    As-tu vu la bédaine du gars chaud, hier soir, en début de soirée, au coin des rues Saint-Laurent et Sainte-Catherine?  

  15. # Anonymous Anonyme

    -Le moment zéro du début de la vie, la page blanche;
    -La vitalité de la jeunesse (vous m'évoquez dangereusement Alex Kovalev...);
    -La pose de la...maturité?;
    -L'imminence de la mort (la seule certitude de la vie, avec les taxes);
    -La vanité -absurde- de notre
    -absurde- existence. (Choisir où placer "absurde".)

    La réponse à l'absurdité de l'existence, c'est la révolte (selon Camus).
    Quant au blogue politique, it is alive and well: http://blogueapart.blogspirit.com/archive/2006/09/index.html  

  16. # Blogger Gilles Rivest

    A 16 ans, j'ai décroché un premier emploi à la papetière Howard Smith de Crabtree, village natal de Roch Lassalle, le seul politicien capable de distinguer le "bon" patronage de l'Union Nationale et le "mauvais" patronage de l'équipe du tonnerre de feu Jean Lesage.
    De minuit à 8 heures du matin, j'étais "crisseur". Je crissais les rouleaux de papier hygiénique dans les boites vides qui circulaient 24 heures par jour sur la chaîne électrifiée. Le quart de travail complété, je savourais "L'HOMME RÉVOLTÉ", de Camus, que je vénérais comme mon grand ami et maître de spiritualité. Camus était pour moi comme un éveilleur de conscience. Il était le précurseur de Che Guevara. Et j'ai finalement dit "fuck-off"! Fuck la job! Fuck la papetière!
    Et je décolle. Pour construire ma vie avec 18 cents dans mes poches. Les poches vides, racontent Verlaine et Rimbaud. Je débarque à Baie-Comeau. L'appel au voyage avait retenti. J'ai tout crissé par dessus bord avec les exigences politically corect des années 60. Pas chanceux! Y avait aussi une papetière qui m'attendait à Baie-Comeau. Jean Lesage avait offert aux amis libéraux une grosse subvention en disant que le chèque à verser de l'Assemblée nationale était pour la création de nouveaux emplois. Les futurs employés allaient suer à la Québec North Shore. Jean Lesage dit le clown au nez rouge de surconsommations alcoolisées devait prononcer une conférence politique. Il est arrivé soaul sur l'estrade d'honneur. Il titubait et prononçait difficilement ce qu'il devait dire pour attirer de nouveaux votes au PLQ.
    Et j'ai dit encore "fuck!". Je ne suis que vraiment pas chanceux. J'ai quitté Baie-Comeau pour grimper vers Port-Cartier-Sept-Iles. Fuck!
    J'ai débarqué au pays de Brian Mulroney qui vendait le minérai de fer de Wabush aux américains à UN SOUS la tonne. Wabush tait-elle une succursale du papa à Georges War Bus? Quioiqu'il en soit, les américains nous revendaient le minerai transformé à 17 ou 18 pistres la tonne. Fuck! C'est-y absurde? Je n'étais vraiment pas chanceux. Vraiment ps chancueux.
    Les journalistes n'ont jamais enquêté pour savoir si les politiciens d'alors recevaient des pots-de-vin dans le dernier wagon qui revenait de New-York City.
    Albert Camus, ayant vécu la guerre d'Algérie, disait dans ses éditoriaux que "c'est absurde". Je ne savais pas à cette époque que c'était un avant-goût du futur scandale des commandites. Jean Lesage ne distribuait pas de balles de golf signées Jean Lesage. Il aimait bien recevoir une bouteille de whisky, de préférence une bouteille de scotch distillé chez Schenley. Je ne sais pas si Brian Malroney était membre du coneil d'administration de Schenley.

    Désirez-vous un scotch "on the ice", madame Eliane?

    Je vous propose un verre de scotch zen. Peu de connaisseurs peuvent en savourer la qintescence. On parle dans les cercles de zen de l'0alcoolisation de la vie.Quelques rares maîtres de zen sont les meilleurs distillateurs que je connaisse.

    Salutations respectueuses,
    Gilles Rivest dit Brian Mulroney JR, ex beau-frère de Jean Lesage. petit-fils d'Albert Camus.
    Pas Albert-Le- Grand mais le Grand Albert Camus.  

  17. # Blogger Gilles Rivest

    Ce n'est pas une excuse valable, Éiane. Il y a des fautes de frappe à la fin du courriel précédent. C'est toujours ce qui arrve quand on savoure trop de scotchs "on the ice", scotchs zen ou pas.

    Parlez-en à Jean Lesage, Brian Mulroney, René Lévesque itou. Et Maurice Duplessis aussi, le grand-p^re de la révolution tranquille.  

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