Qui marche sur l'ombre du Grand Bush?
6 commentaires Publié par Gilles Rivest le 30.10.07 à 8:05 a.m..Le Premier ministre du Canada, l'Honorable Stephen Harper, marche sur l'ombre du Président des États-Unis d'Amérique.
Quand Georges W(ar) Bush va en guerre, Stephen Harper s'en va en guerre.
Quand Georges War Bush reçoit le Dalaît Lama à Washington, Stephen Harper recoit le Dalaï au parlement canadien.
Le Premier ministre du Canada a donc remis au Dalaï devant les caméras de télévisions, cela va de soi un titre honorifique. Publicité préélectroale oblige. Le très Honorable Premier ministre du Canada a remis le titre honorifique de GC, signifiant Grand Canadien.
Donc, le chef spirituel des tibétains, le XIV Dalaï Lama, est officiellement nommé GRAND CANADIEN. Et celui qui marche sur l'ombre de GWB est automatiquement nommé GC, nommé GRAND CON. C'est un peu ce qu'on raconte dans les corridors du parlement.
L'armée chinoise a exterminé plus de 1,2 millions de tibétains depuis l'invasion du Tibet par les soldats fanatiques du GRAND MAO,
Curieusement, ni les USA ni le Canada , ne sont allés appuyer militairement, avec courage, les insurgés tibétains afin de leur remettre, devant les caméras de télévision internationale, le drapeau rouge et blanc avec une feuille d'érable et le drapeau du Canada de la "USA Démocracy", comme ils avaient orchestré le show médiatisé à Bagdad, après la chute de Saddam Hussein et la destruction des armes chimiques irakiennes. Nos stratèges militaires canadiens craignaient-ils les réactions de l'armée chinoise qui a écrasé avec les chars d'assaut les étudiants chinois non armés sur la Place Tienanman?
Pourquoi y sont allés sur le viaduc?
10 commentaires Publié par Gilles Rivest le 19.10.07 à 4:46 p.m..Tel que prédit dès le début des travaux de la Commission Pierre-Marc Johnson, ni les ingénieurs, ni les constructeurs ni Pierre-Marc Johnson, cela va de soi, ne sont coupables. Selon les conclusions du Rapport, les victimes écrabouillées entre les fissures du viaduc sous les tonnes de béton étaient au mauvais endroit au mauvais moment. Fallait sortir les carcasses rapidement avant que ça sente "mauvais". Pas chanceuses les victimes. Vraiment pas chanceuses, ajouterez-vous. D'accord! Que Dieu le Père acceuille convenablement les âmes des victimes. Et souhaitons pieusement qu'il n'y a pas au Paradis de viaducs "made in Québec",
Les travaux de la Commission d'enquête concernant le scandale des commandites ont accouché itou d'un rapport épais, épais dans le sens épais, précisons épais dans le sens empâté et abondant, c'est-à-dire que l'on a rédigé un BIG RAPPORT qui conclut qu'il n'était pas dans le mandat de la commission de chercher les coupables qui ont mystérieusement puisé dans les coffres de l'état. Bien entendu, ni les hauts gestionnaires de l'état ni les politiciens responsables de la vérification des finances publiques ne savient pas que l'on fouillait illégalement dans la tirelire de l'état.
Et que dire du scandale du sang contaminé?
Pourquoi les victimes du sang contaminé ont-elles accepté les transfusions de sang? Elles auraient du savoir que les transfusions de sang contminé obligent parents et amis à marcher lentement derrière un cercueil ou une urne funéraire. Conclusion, monsieur le curé passe le panier lors des funérailles. Calomnie oblige, les mauvaises langues racontent que Jean Chétien verse un gros vingt dollars canadien (20$) dans le panier à aumônes avant de distribuer les balles de golf commanditées par le gouvernement du Canada.
La morale des commissions d'enquêtes canado-québécoises est immorale.
Le Rapport de la Commission Johnson aurait du ajouté que les nouveaux cerceuils à poignées à l'intérieur sont présentement disponibles. Les victimes décédées peuvent se transporter elles-mêmes devant les caméras de télévision, une copie du rapport sous le bras en chantant "NOUS MARCHONS VERS LA CROIX ROUGE, MES FRÈRES.