Hommages à Germain "Mariano-Mexico" Sauvé
1 commentaires Publié par Gilles Rivest le 22.11.06 à 8:14 p.m..
Pendant toute sa vie, GERMAIN a cherché, avec le plus d'honnêteté, le plus de sincérité possible et selon ses capacités, à réaliser cette très belle parole de Mère Térésa à ses religieuses missionnaires de la charité: "A notre mort, nous ne serons pas jugés sur la somme de travail accompli, mais sur le poids de l'amour que nous y aurons mis". Et Dieu sait que tout au long de sa vie, GERMAIN a posé de ces gestes concrets d'AMOUR et de SERVICE. Il a été, dans tout ce qu'il a fait, d'une grande disponibilité, d'une grande générosité.
Profondément humain, très chaleureux, très sympathique, GERMAIN était un homme simple, réservé, qui parlait peu, mais qui possédait un grand sens de l'observation et était souvent très perspicace. Il était un homme profondément honnête, intègre; un homme doux, pacifique, qui n'était blessant pour personne et qui n'aurait jamais fait de mal à qui que ce soit; un homme très attachant, généreux qui ne comptait que des amis, qui donnait une place très importante à l'amitié dans sa vie et qui s'est fait, jusqu'à la toute fin, proche de ses amis.
Homme d'une grande sensibilité et d'une riche émotivité, GERMAIN avait gardé son coeur d'enfant et savait s'émerveiller devant la nature, devant les enfants, devant la vie. Il aimait la vie. Il croquait à pleines dents dans la vie. Il savourait chaque instant de sa vie. C'était un bon vivant, un bon danseur qui aimait faire la fête et s'amuser. Il voulait vivre et vivre, si possible, jusqu'à 100 ans.
Doté d'une très bonne voix, GERMAIN adorait chanter et le faisait volontiers dans des "parties", en interprétant des chansons à répondre ou, dans des circonstances très spéciales, son célèbre "Mexico". Depuis fort longtemps, il participait de façon très active, à la Chorale de la paroisse. Très sociable, il prenait grand plaisir à
partager avec sa famille et ses amis, à jaser avec eux, à jouer aux cartes avec eux. Il était très bon joueur de cartes et c'est justement en jouant au cribble avec DENISE, son épouse, SYLVIE, JEAN-GUY et KARINE qu'il est décédé. Il allait gagner la partie et riait déjà de plaisir quand la mort l'a terrassé.
Grand sportif, athlète exceptionnel, GERMAIN a toujours été très impliqué dans le sport; il adorait le baseball et le ballon balai, aimait taquiner le poisson avec ses gendres ou, quand la température le permettait, se retrouver sur un terrain de golf avec surtout son neveu Gilles Sauvé à qui il aimait tirer la pipe. Jeune de coeur, GERMAIN aimait rire, avait le sens de l'humour, aimait taquiner, agacer ou jouer des tours de temps à autre.
Homme extrêmement travaillant, débrouillard, GERMAIN a toujours travaillé très fort. Il aimait travailler la terre, passait beaucoup de son temps à jardiner, à semer, à planter des arbres. Dans sa famille, on le surnommait justement parfois "l'homme qui plantait des arbres".
Par-dessus tout, GERMAIN était un HOMME DE FAMILLE, une personne très proche de sa famille, une personne dont toute la vie était centrée autour de sa famille. Il adorait son épouse DENISE avec qui il a partagé, pendant plus de 48 ans, une grande complicité, de belles et riches expériences et réalisé de grands projets, et à qui, surtout, il a manifesté, pendant toutes ces années, beaucoup de fidélité, beaucoup d'affection, de tendresse et d'amour. Il aimait profondément ses quatre filles MICHELINE, SYLVIE, DIANE et HÉLÈNE , en était très fier et leur a consacré une grande partie de sa vie. Il les suivait dans leur cheminement personnel et les accompagnait partout et toujours dans leurs activités sportives, dans les tournois de balle, etc...
Comme un bon père, il a accepté avec beaucoup de respect et d'amour leurs conjoints, JOCELYN, JEAN-GUY, RÉAL et GABRIEL. Il était très fier de ses 7 petits-enfants et des deux fils de GABRIEL. Il les adorait tous, les entourait d'affection et de tendresse et ne perdait aucune occasion de les initier au sport. Il est toujours resté très proche de sa famille, de ses frères, de ses belles-soeurs, de ses
neveux et nièces.
PROFONDÉMENT CROYANT, GERMAIN vivait simplement, humblement, son engagement chrétien. Sa FOI, il la vivait dans son milieu de vie, dans sa famille, dans sa communauté chrétienne, dans sa municipalité, en posant des gestes concrets et simples de SERVICE et d'AMOUR et en venant, toutes les fois où ça lui était possible, nourrir sa foi à la Parole de Dieu et au Pain eucharistique.
Aujourd'hui, le coeur gros et la mémoire pleine de tous ces beaux souvenirs de ce que nous avons vécus avec lui, nous confions notre frère et ami GERMAIN au Seigneur et nous lui demandons de l'accueillir comme leur enfant et de lui donner une place de choix au banquet éternel. Il a terminé ici-bas sa MISSION. Il part la tête haute avec la FIERTÉ d'avoir, pendant ces 76 ans, très bien rempli sa vie, la CONSCIENCE d'avoir accompli richement sa mission et la CONVICTION PROFONDE que de l'autre côté QUELQU'UN, un "AMOUR" l'attend. Il part rejoindre tous ceux et celles qu'il a aimés et qui l'ont précédé. Et nous qui demeurons, nous nous rappelons ce très beau texte de Doris Lussier à la mort de son fils de 20 ans:
"Un homme qui s'éteint, ce n'est pas un mortel qui finit, c'est un immortel qui commence. C'est pourquoi, en allant confier le corps de mon fils à la terre accueillante où il dormira doucement à côté des siens en attendant que j'aille l'y rejoindre, je ne lui ai pas dit "adieu", je lui ai dit "à bientôt". Car la douleur atroce qui me serre le coeur raffermit, à chacun de ses battements, ma certitude qu'il est impossible d'autant aimer un être et de le perdre pour toujours."
Texte écrit par Gilles Sabourin, csv.
Profondément humain, très chaleureux, très sympathique, GERMAIN était un homme simple, réservé, qui parlait peu, mais qui possédait un grand sens de l'observation et était souvent très perspicace. Il était un homme profondément honnête, intègre; un homme doux, pacifique, qui n'était blessant pour personne et qui n'aurait jamais fait de mal à qui que ce soit; un homme très attachant, généreux qui ne comptait que des amis, qui donnait une place très importante à l'amitié dans sa vie et qui s'est fait, jusqu'à la toute fin, proche de ses amis.
Homme d'une grande sensibilité et d'une riche émotivité, GERMAIN avait gardé son coeur d'enfant et savait s'émerveiller devant la nature, devant les enfants, devant la vie. Il aimait la vie. Il croquait à pleines dents dans la vie. Il savourait chaque instant de sa vie. C'était un bon vivant, un bon danseur qui aimait faire la fête et s'amuser. Il voulait vivre et vivre, si possible, jusqu'à 100 ans.
Doté d'une très bonne voix, GERMAIN adorait chanter et le faisait volontiers dans des "parties", en interprétant des chansons à répondre ou, dans des circonstances très spéciales, son célèbre "Mexico". Depuis fort longtemps, il participait de façon très active, à la Chorale de la paroisse. Très sociable, il prenait grand plaisir à
partager avec sa famille et ses amis, à jaser avec eux, à jouer aux cartes avec eux. Il était très bon joueur de cartes et c'est justement en jouant au cribble avec DENISE, son épouse, SYLVIE, JEAN-GUY et KARINE qu'il est décédé. Il allait gagner la partie et riait déjà de plaisir quand la mort l'a terrassé.
Grand sportif, athlète exceptionnel, GERMAIN a toujours été très impliqué dans le sport; il adorait le baseball et le ballon balai, aimait taquiner le poisson avec ses gendres ou, quand la température le permettait, se retrouver sur un terrain de golf avec surtout son neveu Gilles Sauvé à qui il aimait tirer la pipe. Jeune de coeur, GERMAIN aimait rire, avait le sens de l'humour, aimait taquiner, agacer ou jouer des tours de temps à autre.
Homme extrêmement travaillant, débrouillard, GERMAIN a toujours travaillé très fort. Il aimait travailler la terre, passait beaucoup de son temps à jardiner, à semer, à planter des arbres. Dans sa famille, on le surnommait justement parfois "l'homme qui plantait des arbres".
Par-dessus tout, GERMAIN était un HOMME DE FAMILLE, une personne très proche de sa famille, une personne dont toute la vie était centrée autour de sa famille. Il adorait son épouse DENISE avec qui il a partagé, pendant plus de 48 ans, une grande complicité, de belles et riches expériences et réalisé de grands projets, et à qui, surtout, il a manifesté, pendant toutes ces années, beaucoup de fidélité, beaucoup d'affection, de tendresse et d'amour. Il aimait profondément ses quatre filles MICHELINE, SYLVIE, DIANE et HÉLÈNE , en était très fier et leur a consacré une grande partie de sa vie. Il les suivait dans leur cheminement personnel et les accompagnait partout et toujours dans leurs activités sportives, dans les tournois de balle, etc...
Comme un bon père, il a accepté avec beaucoup de respect et d'amour leurs conjoints, JOCELYN, JEAN-GUY, RÉAL et GABRIEL. Il était très fier de ses 7 petits-enfants et des deux fils de GABRIEL. Il les adorait tous, les entourait d'affection et de tendresse et ne perdait aucune occasion de les initier au sport. Il est toujours resté très proche de sa famille, de ses frères, de ses belles-soeurs, de ses
neveux et nièces.
PROFONDÉMENT CROYANT, GERMAIN vivait simplement, humblement, son engagement chrétien. Sa FOI, il la vivait dans son milieu de vie, dans sa famille, dans sa communauté chrétienne, dans sa municipalité, en posant des gestes concrets et simples de SERVICE et d'AMOUR et en venant, toutes les fois où ça lui était possible, nourrir sa foi à la Parole de Dieu et au Pain eucharistique.
Aujourd'hui, le coeur gros et la mémoire pleine de tous ces beaux souvenirs de ce que nous avons vécus avec lui, nous confions notre frère et ami GERMAIN au Seigneur et nous lui demandons de l'accueillir comme leur enfant et de lui donner une place de choix au banquet éternel. Il a terminé ici-bas sa MISSION. Il part la tête haute avec la FIERTÉ d'avoir, pendant ces 76 ans, très bien rempli sa vie, la CONSCIENCE d'avoir accompli richement sa mission et la CONVICTION PROFONDE que de l'autre côté QUELQU'UN, un "AMOUR" l'attend. Il part rejoindre tous ceux et celles qu'il a aimés et qui l'ont précédé. Et nous qui demeurons, nous nous rappelons ce très beau texte de Doris Lussier à la mort de son fils de 20 ans:
"Un homme qui s'éteint, ce n'est pas un mortel qui finit, c'est un immortel qui commence. C'est pourquoi, en allant confier le corps de mon fils à la terre accueillante où il dormira doucement à côté des siens en attendant que j'aille l'y rejoindre, je ne lui ai pas dit "adieu", je lui ai dit "à bientôt". Car la douleur atroce qui me serre le coeur raffermit, à chacun de ses battements, ma certitude qu'il est impossible d'autant aimer un être et de le perdre pour toujours."
Texte écrit par Gilles Sabourin, csv.
Les prédications dans les églises chrétiennes parlent de Jésus, Christ et Sauveur. J'entre dans les églises et je ne trouve pas Celui dont on parle beaucoup. Et je quitte les lieux rapidement.
Si mes oreilles entendent parler Gilles Sabourin dans une église, mon âme conseille de m'y arrèter quelques minutes, parce que le "Seigneur Jésus n'est pas très loin".