Que trois accords. Plus bien sur trois accords de plus pour te dire "don't make some noise". Trois seuls accords pour changer le monde. Peu importe ce qui passe la nuit, Les Trois Accords sont au Bar Chez Maurice pour un show en cinquière vitesse, un beau spectacle "well sympathique". Les bacs à fleurs de Saint-Cyrille-de-Wendover ressemblent aux bacs à fleurs à Saint-Lazare. Une pelure se meurt et pourtant, pourtant, jadis, chantent Olivier, Pierre-Luc, Charles, Alexandre et Simon, "cette orange a déjà imposé le respect".
Le clown-interprète dit avant le temps des rappels que Saint-Lazare, à Saint-Lazare, y a une "belle salle de spectacles, une belle salle de spectacles au Québec". Si c'est loin d'ici j'y vas. J'y vas pas. Tabarnak, j'y vas Chez Maurice. Tout nu sur la plage du Bar Chez Maurice. Frisez vos moustaches. Y a les chansons du futur, reprises par les gros haut-parleurs. Les "gens rient trop dans la vie, dans la douleur on réalise que tout n'est pas triste". Stop la philosophico-maniaco-dépression. Mon dieu, c'est aussi poétiquement beau que du Shakespeare avant son dernier expir. Y a la "pièce de viande". C'est un nom composé. C'est aussi un non cliché. Bonne fête Stéphanie. La si jolie belle demoiselle en fête pour ses jeunes vingt ans.
Dis, le bac à fleurs, "me reviendras-tu demain"? Un clin d'oeil à Sylvain "Barbara Streisand" au comptoir de ventes de chandails promos. Trois fois trois colonnes de belles lumières rougeatres descendent miraculeusement du ciel. Quatre faisceauxs bleu-ciel backstage.. Terminé les poèmes lugubres. Les Trois Accords ont des titres alternatifs pour leurs tounes. Ah! ce soir, on parle de choses et d'autres. Surtout de choses autres. Comme j'ai tué ma vache. Comment je l'ai tué. Tout nu, sur la plage, le ventilateur parle lui aussi tout seul. Je suis rentré dans mon 4 et demi. avec une auto. Crisse de char! Non non! ne prends pas ton avion. Si nous n'avions que trois accords pour beaucoup dire..., Les Trois Accords répéteraient sans perroqueter "REBONSOIR SAINT-LAZARE". Ici à soir, les navets ne pleurent plus. Les émotionnellement instables sourient, tous nus sur la page. On tape des mains pis on laisse les fuckés ben fuckés se démderder avec les fausses notes des politicens. Mon dieu, que c 'est beau du Shakespeare, version hiver2007.
LES TROIS ACCORDS vous aiment, . Tout nu sur la plage à Saint-Lazare, le maillot de bain jaune pastel est accroché tête au plafond sur la corde à linge. Hier tu marchais pieds nus sur le Boulevard Saint-Angélique, tes souliers en bandoulière, la guitare sur l'épaule, et tu essayais de te gratter. Un chum a saupoudré de cari son gros orteil droit en sortant de l'épicerie.
Si nous n'avions que trois seuls accords pour accorder le violon peint sur le bel avion des TROIS ACCORDS, les maîtres du pastiche chanté sautilleraient de joie avec de petits orgasmes sans les granules de Viagra
Que "c - difficile" à nous débarrasser!
4 commentaires Publié par Gilles Rivest le 21.2.07 à 4:21 p.m..Le PLQ invite les jeunes libéronautes à noyauter les blogues durant la campagne électorale. La bloguosphère sera donc elle aussi polluée par les messages politiques et les promesses électorales des rouges, des bleus, des verts, des ADQ et des Québec Slalom de Madame David qui essaiera de passer entre les jambes de Boislair, Charest et Dumont. Les jeunes libéraux sont également invités à participer aux tribunes téléphoniques, aux entrevues à la télé et à la radio.
- Bonjour Monsieur, bonjour madame, je suis Jean-Sébastien Charest, arrière petit-fils de Daniel Johnson père. Je voudrais vous parler ce matin des Rolling Stones. Pierres qui stonent ne degèlent pas en déboulant les chutes Montmorency. Si nous, si tous les jeunes nous votons Jean Charest, nous aurons aurons deux joints chaque matin, avant de prendre les supers beaux autobus jaunes. Donc, les boys, les girls itou, nous votons rouge le 26 mars.
V'là le séparato.
-Si nous séparons la rive sud et la rive nord, entre Sept-Iles et Baie-Comeau, nous aurons dit notre chef magnifique André Boisclair, qui offrira deux verres de coca liquide aux jeunes qui auront voté PQ. C'est promis man.
Le jeune adéquiste, lui il ne sait pas, si les députés doivent voter oui ou non au référendum. Si vous votez à la fois un peu oui, un peu non, un peu peut-être oui en soulignant avec vos initiales la clause un peu peut-être non, peut-être que oui, peut-être que oui peut-être que non nous aurons un pays, un vrai pays, ... si Mario Lemieux, je voulais dire si Mario Dumont se branche, là-haut au sommet du Parlement canadien.
Ne zappez pas immédiatement. Les jeunes de Québec Slalom savent slalomer. Shalom mes frères. Slave l'homme. S'lave la femme itou. Nous avons tous des racines slaves. Les slovaques ne se s'lavaient pas quotidiennement, mais ils savaient comment s'laver les mains. Ce qui est très utile, si nous voulons lutter contre les maladies nocosomiales. Donc, si vous votez pour Québec Solidaire, tout le monde s'laveront les mains et les chefs de partis poilitiques s'en laveront les mains, en commentant les raisons pour lesquelles les victimes de la "C - difficile" ont rejoint le Grand Slave pu au Paradis. Pas nécessaire. Que c'est donc difficile à gérer!.
Bonnes élections à tous,
Monsieur Gilles,
président du Comité- Jeunesse de Nord Chibougamou-sud.
Ils étaient vingt et quelques cents au Bar chez Maurice pour savourer les chansons de Vincent Vallières. Sur scène, l'espace musical de Vallières est un jeu novateur, créatif, un jeu de complicités avec les copains d'abord et les fans dans la salle. Vallières repère tranquillement les lieux, hume les parfums féminins. Le chansonnier fixe habilement les regards des auditrices. Ce qu'il est confortable avec sa guitare! Les premières notes annoncent la liberté, libres de triper sur scène. Il décolle avec une chanson connue, fredonnée par les fans. Il claque les mains au-dessus de la tête, reprend la guitare en mains, solidement. Allez hop, qui pourrait le retenir? L'univers du chansonnier acceuille portes grandes ouvertes les froidures de la vie au début février.
Chacun dans son assiette, mais pourquoi donc ne danserions-nous pas ENSEMBLE, demande-t-il? Vallières est à Saint-Lazare ce soir et content d'y être. Il ajoute malicieusement entre deux chansons: "Ce n'est pas parce qu'on est en guerre qu'on est obligé de se faire mal". Vallières, impeccable, jette un look du côté du guitariste Olivier Langevin. Un guitariste aux doigts d'or, full branché, qui anticipe les sonorités musicales follement, majestueusement bien interprétées. Ça déménage sur la scène aux rythmes des éclairages sortis du fin fond de l'enfer. On ne joue pas de la musique pour oublier le temps perdu à ne rien faire. O.K. on part! On part "chacun dans son espace". On part ensemble. Les fans danseurs se déhanchent en claquant des mains. Ils ralentissent modérément le rythme pour bien entendre ce que Vallières a à chanter pour eux. Au yab les accords parfaits. Accordons-nous ensemble, musiciens. Le party est invité à la fête ce soir, avec nous. Si vous êtes dans les frites jusqu'au p'tit matin, y a la musique qui "buzze" si la guitare est aussi dans les frites. Tripe pas trop fort l'ami.
Une demoiselle élégante vend les CD, les t-shirts pour les fans. Deux musiciens portent chemises multicolores carottées sans le folklore gnagna. Les deux autres musiciens ont revêtu les t'-shirts noirs. Vallières sort la guitare des frites. Il demande une guitare à l'accessoiriste. La guitare est finement accordée.
Lets-s go, musiciens.
Lets's have du plaisir ensemble avec vous à Saint-Lazare.
PHOTOS; Michel Leduc
Chacun dans son assiette, mais pourquoi donc ne danserions-nous pas ENSEMBLE, demande-t-il? Vallières est à Saint-Lazare ce soir et content d'y être. Il ajoute malicieusement entre deux chansons: "Ce n'est pas parce qu'on est en guerre qu'on est obligé de se faire mal". Vallières, impeccable, jette un look du côté du guitariste Olivier Langevin. Un guitariste aux doigts d'or, full branché, qui anticipe les sonorités musicales follement, majestueusement bien interprétées. Ça déménage sur la scène aux rythmes des éclairages sortis du fin fond de l'enfer. On ne joue pas de la musique pour oublier le temps perdu à ne rien faire. O.K. on part! On part "chacun dans son espace". On part ensemble. Les fans danseurs se déhanchent en claquant des mains. Ils ralentissent modérément le rythme pour bien entendre ce que Vallières a à chanter pour eux. Au yab les accords parfaits. Accordons-nous ensemble, musiciens. Le party est invité à la fête ce soir, avec nous. Si vous êtes dans les frites jusqu'au p'tit matin, y a la musique qui "buzze" si la guitare est aussi dans les frites. Tripe pas trop fort l'ami.
Une demoiselle élégante vend les CD, les t-shirts pour les fans. Deux musiciens portent chemises multicolores carottées sans le folklore gnagna. Les deux autres musiciens ont revêtu les t'-shirts noirs. Vallières sort la guitare des frites. Il demande une guitare à l'accessoiriste. La guitare est finement accordée.
Lets-s go, musiciens.
Lets's have du plaisir ensemble avec vous à Saint-Lazare.
PHOTOS; Michel Leduc
Miracle! Enfin une idée novatrice. Quelques jours avant le déclenchement des élections, le Premier ministre Jean Charest a nommé une Commission pour étudier le déraillement des accommodements raisonnables. Les commissaires feront donc le tour du Québec. À pied, à cheval ou bien avec une voiture ministérielle, ils sonderont les reins des québécois et des québécoises à propos des accommodements raisonnables.
Quels montants les québécois/es devront-ils, devront-elles payer pour les travaux de la Commission, pour les frais de transports, pour les aviseurs légaux, pour les rédacteurs professionnels et les faiseurs d'image, pour la mise en marché du show télévisuel à médiatiser? Les débats municipaux et les discussions familiales, les discussions entre amis aussi, sont "déraisonnables", a expliqué Monsieur le Premier des ministres du Parti Libéral du Québec. C'est évident. Une évidence aussi ont été les dépenses allouées pour la Commission sur le sang contaminé, pour le Scandale des Commandites, pour l'écrasement du viaduc à Laval. Bref, disons ouvertement que les dépenses ne sont pas raisonnables. Dit autrement, les budgets alloués pour la rédaction des Rapports ayant couté plusieurs dizaines de millions de dollars canadiens, pour les rapports volumineux qui dormiront sur une tablette gouvernementale et qui accumuleront la poussière sont "déraisonnables".
Poser simplement la question "croyez-vous que les dépenses allouées pour les commissions d'enquête sont "raisonnables" ou "déraisonnables" ne sera jamais poser à ceux qui déposeront un mémoire ou poser aux québécois/es qui se présenteront aux audiences publiques pour exprimer leur point de vue. Le Premier ministre Jean Charest a balayé sous le tapis la poussière nommée "accommodement raisonnable". Électoralement parlant, les coups de balai de la poussière sous le tapis est peut-être rentable. Un jour ou l'autre, faudra bien que quelqu'un soulève le tapis pour un vrai nettoyage. Bien sur, les politiciens élus diront que s'il y a tant de poussières, c'est de la faute du gouvernement précédent qui n'a pas fait ce qu'il aurait fallu que l'on fasse, c.a.d. ne pas avoir voté pour le gouvernement précédent. J'entends les sabots au loin. Les commissaires qui font les commissions des Premiers ministres arrivent.
Traitement pour les diarrhées préélectorales.
17 commentaires Publié par Gilles Rivest le 2.2.07 à 10:09 a.m..Plus de quatre années de réflexion pour accoucher d'un accommodement raisonnable dans le secteur de la santé. Les prestataires de l'assistance sociale, ainsi que les personnes âgées économiquement démunies ne paieront pas les médicaments en se présentant à la pharmacie. Le chantage de l'industrie pharmaceutique est toujours efficace. Les compagnies pharmaceutiques sont heureuses d'apprendre que le gel des prix des médicaments sera aboli pour introduire une indexation qui suivra les fluctuations à la hausse de la déesse Inflation.
Plus ou moins 3,2 millions de québécois verront leurs factures grimper. Le dégel des prix était "inévitable", a expliqué le ministre Philippe Couillard. Et Monsieur Couillard d'ajouter, en conférence de presse, que "nous approchions du moment où allions voir des fabricants retirer leurs produits des tablettes des pharmacies et des établissements". Si cette menace ne peut être qualifiée de chantage, elle peut être classée dans la catégorie "tordage de bras" de l'industrie pharmaceutique.
Compte tenu de la hausse de nouvelles maladies et de la fréquence des soins de santé, les québécois ont besoin de médicaments. Les tablettes des pharmacies doivent donc être bien garnies. Qui paie pour les factures de mises en marché des granules, des onguents, de "p'tites" pilules, des antibiotiques, des antidépresseurs et des cocktails prescrits par les oncologues? Qui paie pour les conférences scientifiques offertes gratuitement aux médecins pour mousser la vente des produits pharmaceutiques? Qui paie pour l'édition des revues médicales "four color process" des revues scientifiques envoyées gratuitement aux médecins? Qui paie pour les pilules aux comptoirss des pharmacies? Qui paie pour tout cela? Devinez.
Si le gouvernement examinait en profondeur la politique du médicament au Québec, nous pourrions payer 50% moins cher nos prescriptions médicales, affirment quelques économistes qui ont analysé la politique des prix non contrôlés des médicaments. Au rythme où réfléchissent les politiciens qui cèdent aux menaces de l'industrie pharmaceutique de quitter le Québec, ou bien, s'il le faut, vider les tablettes de médicaments dans les pharmacies, soyons donc assurés que le gouvernement accouchera électoralement d'une formule style "accommodement raisonnable".
Qui paie? Plus de 3,2 millions de cons, de consommateurs québécois, paieront les factures pour la non intervention des politiciens aux prises avec le problème de diarrhées préélectorales ou préréférendaires.